Lettre d’adieux au monde

         

© El Fuego Lionel.  9 janvier 2013

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Suis-je en train de pécher ?

En exprimant  sincèrement mes pensées ?

Ma couche est submergé des pleures

_larmes, et des sueurs

Sueurs de peur

Peur du cœur 

Dieu ne serai tu pas parfois injuste ?

Suicide ou assassinat ! Fallait me laissé mourir

Cela m’aurait  parût  très juste

Au lieu d’un quart de siècle sans me suffire

Suis-je en train de pécher ?

En exprimant mes pensées ?

Le seul gain dans ma vie c’est la VIE Eternelle

Mais elle, c’est un héritage spirituel

 Mais pourquoi ne m’as-tu pas tué après ?

J’aurais étais mieux derrières la porte du décès

Cela m’aurait évité de broncher

Je déchire mon cœur car j’en ai assez…

Suis-je en train de broncher ?

En exprimant les larmes de mes pensées ?

Malheur serait il d’être venu sur terre ?

En y vivant donc vers de terre ?

Mort où es tu?

Même toi à mon égard tu t’es tu ? 

Je grince les dents

Car la vie m’accroche et m’agace

Ainsi que ses antécédents

Ma révérence, que je décroche

Mes propos ne se veulent pas respectassions

Encore moins vociférations

A treize ans je pense et tente mon premier suicide

Créateur tu mérites mes honneurs

Bien que rien dans ma vie n’est lucide

Et que de celle-ci j’ai horreur

Pauvre homme que j’ai toujours étais

Je préfère des funérailles des chiens

Car en réalité c’est ce que j’étais

Le deuxième ciel le voit, ainsi que les siens

Aucun humain n’est fautif dans ma souffrance

Seul Dieu et moi

Tant pis s’il le décline

Mais la souffrance à ces maux m’incline

S’est vrai que parfois Dieu me rends joviale

Mais de fois me laisse dans des interférences

Il laisse inactive mes forces maximales

Tout en mourant, je m’oblige de l’aimer quand même.

LIONEL BANZAMBI

© El Fuego Lionel. 9  janvier  2013

Début du script : octobre 2008 Notes : diverses situations et moments difficiles dans            ma vie, ont stimulées la réalisation de ces  écrits